Jean CLERMONT commence la clarinette dès l'âge de sept ans à l'UML (Union Musicale Lourdaise) ... et n'en n'est pas peu fier. Grâce à la sollicitude de son professeur, Monsieur Marcel VOLIVERT, il est toujours musicien aujourd'hui. Comprenant rapidement que la musique classique n'était pas franchement la tasse de thé de son élève, il l'initie au jazz, avec un premier morceau, "Nuages", d'un certain Django REINHARDT. Il lui fait aussi découvrir les mélodies des années trente et quarante... Pendant plusieurs années, la peinture va prendre le pas sur la musique, mais en 1999, sa rencontre avec Jean DOERR marque le début d'une belle aventure et aboutit à la création du quartet de jazz manouche DJANGE DJASS. Depuis, il a également croisé les chemins de SWING 65, et de la POPOTE...
Pierre BRICE, orginaire de la région parisienne, s'est installé dans les Hautes Pyrénées en 2010.
Après une formation musicale classique il intègre la section rythmique du Big Band d'Aulnay Sous Bois dirigé par Roger GUERIN puis par Richard FOIX. Parallèlement il suit les cours de J.F. JENNY-CLARKE puis d'Yves TORCHINSKY.
Au sein du Big Band, il rencontre de nombreux musiciens avec qui il se produit sur les scènes parisiennes et bretonnes (Petit journal Montparnasse, Melody blues). Il accompagne ainsi notamment Daniel HUCK, François DESPRES, Carole SERGENT...
Avec le quartet NEMESIS, il gagne les concours d'Orchestre de Quimper et d'Ile de France.
Dès son arrivée dans le Sud-Ouest, il participe à divers projets avec le guitariste Alain FOURTINE ( Ravel El Moro, Quartet Dulce Coplas, Jojo et les Argonautes...), rejoint le quartet de jazz manouche Lady Spancer et s'associe enfin à Pierre ARA et Roland DULAC pour former PRP Jazz Trio.
En 2013 et 2014, il participe aux rencontres internationales de contrebasse à Capbreton. A ces occasions il joue avec les pianistes Kenny WERNER, Manuel ROCHEMAN, Frank AVITABILE, le batteur Ari HOENIG. Il profite des échanges musicaux lors des Master Classes avec les contrebassistes Hein VAN DE GUEIN, Ron CARTER, Stanley CLARKE et les pianistes Monty ALEXANDER, Omar SOSA.
Sébastien CABOS commence la guitare à 19 ans... Il prend des cours avec le guitariste palois Frédéric Bordeneuve qui lui transmettra sa passion de la musique.
Sa première expérience scénique, c'est au sein du groupe de punk H.A.B. qu'il la connaît. A 25 ans, il décide d'arrêter de brutaliser sa Stratocaster. Il troque l'électrique pour une guitare manouche... Après avoir écouté Django et repiqué quelques morceaux, il sait qu'il a trouvé sa voie!
Il a la chance de croiser le chemin de Yorgui Loeffler, un des meilleurs guitaristes manouches actuels, avec lequel il se produira sur scène en de nombreuses occasions. Un des évènements les plus marquants de la carrière des deux guitaristes reste néanmoins leur victoire au concours de belote de Monein en 2008!
Aujourd'hui, il se produit régulièrement au sein des groupes Gadjo Familia, La Fabrique à Swing, Swing 007 & Marque Brothers et La Popote. C'est là qu'il rencontre le clarinettiste Jean Clermont. Quand ce dernier lui propose de rejoindre Lady Spancer, son sang ne fait qu'un tour et il se dit pourquoi pas!...
Bertrand PIQUEMAL est le "taiseux" du groupe,... ce qui ne l'empêche pas de tenir vaillamment sa place à la guitare rythmique.
Après de douloureuses études musicales, durant lesquelles son foie fut mis à rude épreuve par des méthodes pédagodiques innovantes certes, mais bagnéraises néanmoins, il s'oriente vers la pratique à haut niveau (et fil à plomb) de la machine à calculer en milieu hostile.
Rapidement remarqué pour son sens de l'à -propos, sa vue perçante et ses chemises à carreaux, il intègre dès lors le fameux EURETEQ BAND où il prend en charge la section cuivre et métaux lourds, avec le succès que l'on sait (une tournée dans les Emirats Arabes Unis est d'ailleurs en préparation pour 2015, mais chut!...)
Hyperactif, il cherche des défis à sa mesure et n'hésite pas à provoquer en duel Arthur ANELLI et Jean CLERMONT, un soir de septembre 2013. Depuis, tout malentendu ayant été dissipé, les trois nouveaux compères sont allés frapper à la porte de Pierre BRICE, sous le prétexte confus d'une fumeuse histoire de chandelle éteinte un soir de clair de lune ... et n'en sont plus repartis. Comme le dit toujours Bertrand: " on va d'abord finir le plat, après on va reboire un p'tit coup, et puis s'il n'y a rien à la télé, on verra de jouer un p'tit truc..." Ah, c'est tout lui ça!